Des dirigeants transforment, pas à pas, le modèle économique de leur entreprise…

Face à un contexte économique sous tension, à des préoccupations sociales et environnementales majeures et face à la nécessité d’un développement économique soutenable, une nouvelle approche émerge pour repenser les modèles économiques classiques: l’Économie de la Fonctionnalité, de la Coopération.

Elle vise à concilier efficacité économique, préservation des ressources et création de valeurs sociales.

Et ça marche.

Des dirigeants transforment, pas à pas, le modèle économique de leur entreprise : Ils parlent désormais de sobriété et de valeur d’usage, de coopération, d’engagement et d’autonomisation des équipes.

Trois d'entre-eux témoignent

Plongez dans une pause inspirante de 7 minutes avec Aude Géva (video ci-dessus), Erwan Trotoux et Claire Miquel, dirigentes et dirigeant d’Occitanie. 

Découvrez comment ils transforment leurs entreprises par l’innovation, la sobriété, et le sens au travail, tout en améliorant les marges et réduisant leur empreinte écologique. 

Laissez-vous inspirer vers l’action.

Aude Géva - Bouduprod

Production audiovisuelle, entrepreneure en réseau

🌿 Chez Bouduprod, chaque projet de vidéo marque le début d’une coopération durable. 

Découvrez comment Aude Géva transforme ps à pas Bouduprod grâce à l’économie de la fonctionnalité et de la coopération. Passant de projets isolés à des collaborations durables, elle augmente l’utilité des vidéos pour ses clients et échappe à la recherche constante de nouveauté. Une aventure de changements réfléchis et inspirants vous attend.

ci dessous ; transcription de la prise de parole d’Aude Géva

Ces rendez-vous que je mène aujourd’hui régulièrement avec mes clients, trois ou quatre mois après la livraison de mes supports vidéo, oui il y a une démarche d’amélioration continue, mais ce qui est surtout très intéressant c’est d’aller creuser finalement les usages de la vidéo.

Comprendre les usages

C’est-à-dire qu’en trois-quatre mois, mon client a eu le temps d’utiliser, de diffuser la vidéo, et c’est lui qui va me faire un retour. Parce que, finalement, quand il est venu me demander une vidéo, il avait un objectif en-tête. Sur cet objectif, moi, j’ai construit ma prestation. Mais souvent, et même maintenant, tout le temps, il se trouve qu’il y a un deuxième « effet Kiss Cool », un troisième « effet Kiss Cool ». C’est comme si je comprenais que, finalement, au départ, la valeur était comme ça et qu’avec tout ce que me raconte le client en termes d’usages, de diffusion, de retours, etc., je comprenais que la valeur, elle était bien plus grande. Ça veut dire que je peux m’appuyer là-dessus pour proposer une offre enrichie. Donc je suis beaucoup plus performante dans mon approche maintenant du client. J’ai une écoute différente aussi parce que j’entends son besoin, mais quelque part, je devine tout ce à quoi pourra servir la vidéo. On n’est plus sur du « one shot », ce qui était mon problème initial, quand même, en termes de modèle. On n’est plus sur du « one shot », mais on est plus sur un accompagnement maintenant, sur plusieurs mois, sur une année, voire sur deux ans.

Erwan Trotoux - Sapoval

Gestion des eaux usées et valorisation des composants de l’eau
17 salariés

L’art de la sobriété dans l’innovation et la coopération

Sapoval, sous la direction d’Erwan Trotoux, embrasse l’économie de la fonctionnalité et de la coopération, révélant comment innovation et durabilité peuvent se renforcer mutuellement. Leur voyage avec Terres EFC Occitanie prouve qu’une approche réfléchie mène à une rentabilité durable.

ci dessous ; transcription de la prise de parole d’Erwan Trotoux

Ces rendez-vous que je mène aujourd’hui régulièrement avec mes clients, trois ou quatre mois après la livraison de mes supports vidéo, oui il y a une démarche d’amélioration continue, mais ce qui est surtout très intéressant c’est d’aller creuser finalement les usages de la vidéo.

Comprendre les usages

C’est-à-dire qu’en trois-quatre mois, mon client a eu le temps d’utiliser, de diffuser la vidéo, et c’est lui qui va me faire un retour. Parce que, finalement, quand il est venu me demander une vidéo, il avait un objectif en-tête. Sur cet objectif, moi, j’ai construit ma prestation. Mais souvent, et même maintenant, tout le temps, il se trouve qu’il y a un deuxième « effet Kiss Cool », un troisième « effet Kiss Cool ». C’est comme si je comprenais que, finalement, au départ, la valeur était comme ça et qu’avec tout ce que me raconte le client en termes d’usages, de diffusion, de retours, etc., je comprenais que la valeur, elle était bien plus grande. Ça veut dire que je peux m’appuyer là-dessus pour proposer une offre enrichie. Donc je suis beaucoup plus performante dans mon approche maintenant du client. J’ai une écoute différente aussi parce que j’entends son besoin, mais quelque part, je devine tout ce à quoi pourra servir la vidéo. On n’est plus sur du « one shot », ce qui était mon problème initial, quand même, en termes de modèle. On n’est plus sur du « one shot », mais on est plus sur un accompagnement maintenant, sur plusieurs mois, sur une année, voire sur deux ans.

Claire Miquel - OTCE Infra

Ingénierie et études techniques
20 salariés (OTCE 140 salariés)

Co-construire l’avenir avec sobriété et pertinence

OTCE Infra, sous la direction de Claire Miquel, redéfinit la collaboration en traitant ses clients comme des partenaires. Leur approche, ancrée dans l’économie de la fonctionnalité et de la coopération, transforme les demandes en solutions véritablement adaptées, témoignant d’un engagement profond envers le bien commun et la valeur partagée.

ci dessous ; transcription de la prise de parole de Claire Miquel

« Coopérer, c’est résoudre collectivement un problème »

On est dans un dans une phase aujourd’hui où l’on parle beaucoup de sobriété, de changer la façon d’aménager.

Aujourd’hui, il n’y a pas de solution préconçue là-dessus.

Cela veut dire que les élus qui ont envie de faire des tests et d’aller creuser ça, « on fait le deal avec eux » d’arriver à un objectif et on chemine ensemble.

Co-conception de l’offre

Le fait aussi d’être présent souvent quand l’élu va rencontrer une problématique, même si, au premier champ, ça ne ressemble pas forcément à ce qu’on va faire dans notre domaine d’activité qui est plutôt la voirie ou les réseaux, mais souvent, il nous en parle. Il y a un des élus qui nous a dit : « Quand on est avec votre chef de projet, c’est comme s’il était un élu au conseil municipal ».

Cela confirme le fait que l’on est impliqué et que pour nous, ce qui est important, ce n’est pas de vendre une étude, c’est surtout résoudre un problème. Peu importe le temps qu’il faudra y passer, après on en discute avec les personnes.

Coopération au service d’un « destin commun »

Mais en tout cas, ce côté bien commun, intérêt partagé, travailler ensemble, c’est vraiment un aboutissement, en tout cas une reconnaissance dans ce que l’on peut proposer.

L’impact qui est super, c’est « l’effet boule-de-neige ». On arrive à travailler dans plein de petites communes sur recommandation.

Cela nous simplifie énormément la tâche, parce qu’on répond moins aux appels d’offres.

Parce qu’en plus, il y a des taux de réussite qui ne sont pas forcément géniaux sur les appels d’offres, ça demande beaucoup d’énergie.

Et puis, évidemment, avec les communes que l’on accompagne déjà, ce qui est super, c’est qu’elles ont envie de retravailler avec nous.

Performance commerciale

Moindre prospection

Fidélisation

Donc ça amène beaucoup de satisfaction, une tranquillité d’esprit. On est en train de faire les entretiens annuels, et chez les chefs de projet et tout le personnel en général, spontanément, ils nous affirment aujourd’hui qu’ils sont en adéquation avec leurs valeurs et ce qu’ils vivent chez OTCE infra.

Sens au travail et engagement

11/12/2023

Par Elodie Guyot Secrétaire générale de Terres EFC Occitanie